To Rome with Love (2012) est un film de la période européenne de Woody ALLEN. Après Match Point et Scoop (Angleterre), Vicky Cristina Barcelona (Espagne) et Minuit à Paris (France), Woody pose donc ses caméras en Italie.
Il y a quatre histoires qui se passent en parallèle dans ce film.
Celle de Hayley et Michelangelo. Hayley est une jeune touriste américaine qui tombe amoureuse d’un beau romain. Ses parents dont Jerry, le personnage joué par Woody Allen, un impresario et metteur en scène d’opéras à la retraite, prennent l’avion pour rencontrer la famille de leur futur gendre. Il se trouve que le père de Michelangelo, un croque-mort, a un talent inné pour l’opéra, mais il ne chante que sous sa douche.
Celle de Antonio et Milly, deux provinciaux venus passer leur voyage de noces à Rome. Pendant que Sally se perd dans Rome et croise un de ses acteurs favoris, Jack est victime d’une méprise, une call-girl faisant irruption dans sa chambre d’hôtel pour satisfaire tous ses désirs. Sa famille les trouvant ensemble dans la chambre d’hôtel, il se résout à faire passer la call-girl pour sa femme légitime.
Celle de John, un architecte âgé revenu à Rome retrouver le quartier de sa jeunesse, et qui croise Alec un jeune romain qui lui servira de guide. Alec vit avec Sally, qui a invité chez elle Monica, une jeune femme un peu paumée qui draguera Jack.
Et enfin, celle de Pisanello, un employé au quotidien bien ordinaire, qui se retrouve sous les feux de l’actualité télévisée, et qui devient célèbre du jour au lendemain, sans comprendre ce qui lui arrive, dans une satire féroce de la télévision des années Berlusconi.
Jerry, donc, ce metteur en scène d’opéra qui se vante d’avoir monté Rigoletto de VERDI dans une production où les personnages étaient des souris blanches, a l’occasion d’entendre Giancarlo, le père de Michelangelo, chanter sous sa douche. Il réussit, non sans mal, à le convaincre de passer une audition, qui échoue lamentablement. Il invente alors une douche sur roulettes où le ténor peut s’exprimer avec ses dons innés pour l’opéra. Dès lors, le succès arrive pour celui qui s’ignorait ténor.
Avec une telle histoire, il ne faut pas s’étonner que la BOF soit riche en airs classiques.
Le personnage de Giancarlo est chanté par un vrai ténor, Fabio Armiliato, et il interprète « E lucevan le stelle » de Tosca de PUCCINI.
« Nessun Dorma » de Turandot du même Puccini.
Il y a toute la scène où l’on voit une représentation de Paillasse de LEONCAVALLO.
Bien sûr, l’air « Vesti la giubba »
On peut aussi entendre « Amor ti Vieta », extrait de l’opéra vériste Fedora de GIORDANO.
Et si voulez encore un peu de musique extraite de To Rome with Love, cliquez donc sur le bonus qui pourrait vous réserver une surprise.
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