Ce n’est pas parce que BRAHMS n’a pas écrit d’opéra que je vais me priver de parler de lui sur ce blog. Après tout n’est-il pas un de mes compositeurs préférés ?
Né le 7 mai 1833 à Hambourg, Brahms apprend le piano dès l’âge de six ans. Très jeune, il joue dans les cabarets. Il donne son premier concert à l’âge de quinze ans. À vingt ans, il rencontre le violoniste virtuose JOACHIM, avec qui il se lie d’amitié. C’est Joachim, et LISZT, qui lui conseillent d’aller voir Robert SCHUMANN. La rencontre est fructueuse, et Schumann reconnaît en lui un futur « grand » de la musique. Il se lie donc d’amitié avec le couple formé par Robert et Clara Schumann, et cette relation privilégiée avec Clara durera même après l’internement et la mort de Robert.
Jusqu’ici cantonné au piano, Robert poussera Brahms à écrire pour l’orchestre. Ce sera chose faite avec le premier concerto pour piano, opus 15.
En 1862, il s’installe à Vienne, où il dirigera un chœur. C’est à Vienne qu’il crée en 1868 son Requiem allemand (Ein Deutches Requiem) à l’occasion du décès de sa mère. Après ses quatre Symphonies, ses deux Concertos pour piano, celui de violon et le double concerto, Brahms consacre ses dernières années de compositeur à la musique de chambre.
Mais il y a un genre musical qu’il a pratiqué tout au long de sa carrière, c’est son œuvre chorale.
Quatre chants pour chœur de femmes, deux cors et harpe op. 17 (1860)

Ein Deutsches Requiem op. 45 (1857 – 1868)
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Liebeslieder Walzer op. 52 (1868 – 1869)
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Rhapsodie pour alto chœur d’hommes et orchestre op. 53 (1869)
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Schicksallied (Chant du destin) opus 54 (1871).
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Neues Liebeslieder Walzer op. 65 (1874)
Fest und Gedenspruche (Unsere Vater) (Notre père) op. 109 (1889)
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Brahms meurt à Vienne le 3 avril 1897, d’un cancer du foie.
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