Après les anniversaires de 2023, voyons quels anniversaires nous pourrons célébrer en 2024 (ou quelques événements que nous pourrons commémorer). Comme pour 2023, devant l’abondance de dates à commémorer, j’ai décidé de faire cette présentation en trois parties. « Les compositeurs » puis « les opéras », puis encore « les écrivains et les œuvres que c’est pas de l’opéra ».
En 1624, il y a 400 ans, était créé le Combat de Tancrède et Clorinde du papa de l’opéra, Claudio Monteverdi.
En 1649, il y a 375 ans, avait lieu la création de Il Giasone de Cavalli.
En 1674, il y a 350 ans, c’était la création de l’Alceste de Lully.
En 1724, il y a 300 ans, Haendel nous a livré Jules César en Égypte et Tamerlano.
En 1749, il y a 275 ans, c’est Rameau qui nous livrait son Zoroastre.
et Haendel, encore lui, composait Theodora alors que Galuppi composait Artaserse.
En 1774, il y a 250 ans, Gluck faisait un coup double avec Iphigénie en Aulide et la version française d’Orphée et Euridyce.
En 1799, il y a 225 ans, Méhul composait son Ariodant.
En 1824, il y a 200 ans, Meyerbeer écrivait Il Crociatto in Egitto.
En 1849, il ya 175 ans, le même Meyerbeer écrivait le Prophète,
alors que Verdi écrivait Luisa Miller.
En 1874, il y a 150ans, Wagner achevait Le Crépuscule des dieux,
alors que Johann Strauss écrivait la Chauve-souris,
et Ponchielli la Gioconda.
En 1899, il y a 125 ans, c’était la création de Tosca de Puccini,
du Conte du tsar Saltan de Rimsky-Korsakov,
et de Cendrillon de Massenet.
En 1924, il y a un siècle c’était la création de l’Enfant et les sortilèges (1919-1924) de Ravel,
celle de Turandot,
celle de la Petite renarde rusée de Janacek,
et celle d’Intermezzo de Richard Strauss.
En 1949, il y a 75 ans, c’était la création de Let’s make an opera (le petit Ramoneur) de Benjamin Britten.






















Toujours admiratif de ton savoir et de ta passion, mon cher Jean-Louis.
Belle journée.
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Merci Régis. J’ai toujours autant de plaisir à travailler ces articles !
Bonne journée à toi. 🙂
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Que des 🎵🎵🎵🎵🍾chefs-d’oeuvre, avec un petit grand faible pour Wagner
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Ah oui, moi, j’ai un grand petit faible pour le Wagner !
Bonne journée, Christine. 🙂
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Ah bah, je me rejouis, Jean-Louis 🙏
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Et dans deux jours, les écrivains et les œuvres que c’est pas de l’opéra, et je peux te dire qu’il va y avoir du lourd !!!
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Me suis arrêté sur le chœur infernal de Gluck. Pour deux raisons, d’abord. L’une étant que l’alternance chœur/ténor me rappelle certains passages (que je préfère au reste) de Carmina Burana (voui, du vilain Carl Orff); l’autre, tenant à son final lequel – contemporanéité oblige, m’évoque la célèbre cavalcade du ‘Confutatis’ de Mozart. Et puis, parce que le mythe d’Orphée et Eurydice a très tôt impressionné mes toutes premières initiations à l’art lyrique – une de nos baignoires de famille 😉
Sois donc remercié, comme d’hab’, pour l’excellence de tes choix, ami passionné !
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Intéressantes tes remarques, Tiniak, je vais réécouter le chœur infernal en y cherchant en quoi il a pu influencer Mozart et le vilain Orff !
Je te dirai ce que j’en pense.
(Les Carmina Burana, je les ai chanté, résultat du concert : Beaucoup de bruit pour rien, comme disait Jacques Spyres.)
Bonne soirée.
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Après écoute, j’entends effectivement un « air de famille » avec le requiem de Mozart, mais les similitudes avecs les Carmina Burana m’échappent.
En cadeau, voilà une vidéo promotionnelle que nous avions enregistrée des ces Carminoff Buranoff :
Bonne journée, Tiniak.
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He bien, un sacré billet que tu nous fais là. J’ai pris un peu de retard, je n’ai pas encore commencé la troisième partie.
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Ce n’est pas forcémnet toi qui a pris du retard, John Duff. Ça peut être moi qui ai pris de l’avance, puisque je viens de publier trois articles en six jours (au lieu de deux, donc), avec tous ces anniversaires à célèbrer !
Bonne journée.
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