Divers, Maria Callas

NEUF GRANDS AIRS DE PUCCINI

Giacomo PUCCINI est un des compositeurs dont les opéras sont les plus joués au monde. Il a exercé sa science de l’orchestration dans une dizaine d’opéras, y semant chaque fois un ou deux airs appelés à devenir des « tubes » auprès des interprètes comme du public.

Son premier succès est Manon Lescaut (1893). On peut y entendre la malheureuse Manon chanter « Sola, perduta, abbandonata » (Seule, perdue et abandonnée).

Puccini Manon Lescaut Sola, perduta, abbandonataCliquez sur Maria José Lescaut

Ainsi dans La Bohème (1896), au premier acte quand la couturière Mimi se présente à Rodolfo, avec « Si, mi chiamo Mimi ».

Puccini la Bohème Mi chiamani Mimi (Callas)Cliquez sur Mimi Callas

Le chef-d’œuvre suivant est Tosca (1900) et contient deux « énormes » airs, « Vissi d’Arte » de Tosca et « E lucevan le Stelle » de son amant Cavaradossi.

Puccini Tosca Vissi d'arte (Gheorgiu)Cliquez sur Angela Tosca

Puccini Tosca E lucevan le stelle (Pavarotti)Cliquez sur Luciano Cavaradossi

En 1904, nouveau chef-d’œuvre avec Madame Butterfly et son « Un bel di vedremo ».

Puccini Butterfly Un bel di vedremoCliquez sur Renata Butterfly

En 1910, il écrit le western la Fanciulla del West, avec son air « Ch’ella mi creda libero e lontano ».

Puccini la fanciulla del west Ch'ella mi crda libero e lontanoCliquez sur Jonas Johnson

En 1917, il écrit la Rondine, qui contient l’air « Chi il bel sogno di Doretta »/

Puccini La Rondine Chi il bel sogno di DorettaCliquez sur l’image

En 1918, c’est Gianni Schicchi, une des trois pièces du triptyque, avec son « O mio babbino caro ».

Puccini Gianni Schicchi O mio babbino caro a Room wtrh a viewCliquez sur le professeur Ombrage

Le dernier opéra de Puccini, resté inachevé à sa mort en 1924, est Turandot. C’est dans cette œuvre qu’on peut entendre le « Nessun Dorma ».

Puccini Turandot Nessun dormaCliquez sur Roberto Calaf

14 réflexions au sujet de “NEUF GRANDS AIRS DE PUCCINI”

    1. Waouh, superbe !
      Quand j’ai créé l’nveloppe de ce billet, je l’avais appelé (le billet) dix grands airs de Puccini, puis, me souvenant des conseils de mon pote Verlaine : « De la musique avant toute chose, et pour cela pré_ère l’impair », je suis redescendu à neuf.
      Bonne soirée, John Duff.

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