Je vous parlais il n’y a guère des poèmes symphoniques de Franz LISZT, avec ceux que l’on pourrait qualifier « de sa jeunesse », datant de 1847 à 1851. Voici donc la suite et la fin de la présentation de ces poèmes symphoniques.
Assez naturellement, Liszt a célébré Orphée, le premier des musiciens, avec son Orphée (Orpheus) écrit en 1854 à l’occasion d’une reprise de l’Orfeo ed Euridice de GLUCK.
Festklange (Bruits de fête) date de 1854.
Hungaria, en hommage à sa patrie de naissance date de 1856.
Le dixième, Hamlet d’après SHAKESPEARE, date de 1856 et a été inspiré d’une représentation d’Hamlet qui avait vivement impressionné Liszt.
La Bataille des Huns (Hunnenschlacht) date de 1857, et a été inspiré par un tableau de von KAUYLBACH.
Enfin le treizième et dernier, du Berceau jusqu’à la tombe (Von der Wiege bis zum Grabe), date de 1881.
Sur cette œuvre, une des dernières de Liszt, rappelons-nous ce qu’en disait Wladimir JANKELEVITCH : C’est ainsi que l’œuvre de Liszt, toute bruissante d’héroïsme, d’épopées et d’éclats triomphants, se voit aux approches de la vieillesse envahie peu à peu par le silence… de longues pauses viennent interrompre le récitatif, des mesures blanches espacent et raréfient les notes: la musique de la Messe basse, des Valses oubliées, de la Gondole funèbre et du poème symphonique Du berceau à la tombe devient de plus en plus discontinue, les sables du néant envahissent la mélodie et en tarissent la verve.
Suite et fin donc pour ces poèmes symphoniques. J’ai trouvé un bout de partition qui pourrait être du Liszt.
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Ah oui, c’est rigolo !
Bonne journée, John Duff.
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