Au XIXe siècle, on ne disposait pas des moyens modernes d’enregistrements et de diffusion de masse de la musique. Bien souvent, la musique parvenait dans les petites villes, qui n’avaient pas forcément de théâtre ou de salles de concert par le biais de transcriptions.
La plupart de ces transcriptions étaient réalisées sur commande des éditeurs de musique, mais quelques « grands » compositeurs se sont prêtés au jeu et c’était pour eux l’occasion de briller dans les salons ou au concert. Franz Liszt, le brillant pianiste, a ainsi transcrit un grand nombre d’airs d’opéra. Il était coutumier du fait puisqu’à l’âge de onze ans, il avait déjà transcrit les neuf symphonies de Beethoven pour le piano!
C’est ainsi qu’on peut entendre :
La Flûte enchantée de Mozart :
La mort d’Isolde de WAGNER
Le final d’Aïda de Verdi
La Esmeralda, de Louise Bertin.
Mais Liszt ne s’est pas contenté de transcrire des opéras, il a aussi transcrit, pour le piano seul, des lieder, notamment de Schubert
ou encore de J.-S. Bach.
(P.S. je ne suis pas pianiste, mais quand j’entends la difficulté de ces pièces, je ne suis pas certain qu’elles aient réellement aidé à diffuser la musique dans les salons pour lesquels elles étaient destinées.)
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La démarche était belle ! bonne semaine Jean-Louis
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