Après les poèmes symphoniques de Liszt, je vous propose découter ensemble les poèmes en musique d’un autre grand maître de l’orchestre, Richard Strauss. La plupart de ses pièces ont été écrites dans la première partie de sa vie de compositeur, avant qu’il ne se lance dans le genre opéra.
Le premier est Macbeth (1888), d’après l’œuvre de Shakespeare.
Viendra ensuite Don Juan (1888-1889).
De la même époque date Mort et Transfiguration (Tod und Verklarung) (1888-1889).
Vient ensuite Till l’espiègle (Till Eulenspiegel) (1894-1895).
Le plus connu des poèmes symphoniques de strtauss est probablement Ainsi parlait Zarathoustra (1896) (Also sprach Zarathustra) dont le titre est emprunté à Nietzche. Il a servi à Stanley Kubrick pour la BOF de son 2001 Odyssée de l’espace.
Don Quichotte (Don Quixotte) (1897) d’après Cervantes peut être considéré comme un concerto pour violoncelle eu égard à la place prépondérante donnée à cet instrument.
Entre 1897 et 1898, Strauss écrit Une vie de héros (Ein Heldenleben).
Enfin, au soir de sa vie, Strauss reviendra à la forme poème symphonique avec ses Métamorphoses (Metamorphosen) pour orchestre à cordes qui datent de 1945.
Et pour en savoir plus sur le genre « poème symphonique« , cliquez dessus.








Encore de l’excellente musique dans un bien chouette billet.
John Duff
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Ah oui, j’aime bien les poèmes symphonqiues de Strauss.
Bonne journée, John Duff.
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Bonjour Jean-Louis, celui que je préfère est « Mort et transfiguration », tellement beau… Dommage qu’on ne puisse pas écouter « Ainsi parlait Zarathoustra » sans penser tout de suite à Kubrick – je trouve que ça gêne un petit peu, bien que j’apprécie cette musique…
Merci Jean-Louis, bon après-midi ! 🙂
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