Ayant assisté récemment à une très bonne version de Turandot de Puccini, avec son fameux air pour ténor « Nessun Dorma », et ayant vu il n’y a pas si longtemps une belle version de Tosca du même Puccini, avec son fameux « E lucevan le stelle », je me suis demandé quels étaient les autres grands airs que Puccini a ainsi offerts aux ténors, et aux auditeurs.
Dès son premier opéra, Manon Lescaut, on trouve l’air « Donna non vidi mai ».
Ensuite, dans la Bohème, il nous offre l’air « Che gelida manina ».
Dans Tosca, donc, on trouve le fameux « E luccevan le stelle »
Puis dans Madame Butterfly « Adio, fiorito asile »
Dans son western la Fanciulla del West, il offre au ténor l’air « Ch’ella mi creda libero e lontano »
Et dans Gianni Schicchi « Avete torto ! »
Enfin, un tube des tubes dans Turandot avec « Nessun dorma »
Tout l'opéra (ou presque) 
Waououh 👍👍👍
Je l’emmène avec moi, ce billet. Pour écouter la musique, toute seule tranquille, dans mon coin.
Nan, plus serieusement, je l’enregistre pour plus tard. J’aime.
Merci, monsieur Toutlopéra. Bonne journée, à plus 🙋♀️
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Ça fait du bien de revenir aux fondamentaux, la beauté du chant et rien d’autre !
Bonne journée, SOlène. 😃🎼📚🌞
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J’allais écrire : très beau.
Mais non, ce n’est pas cela, c’est beaucoup plus que cela.
Vivement le même avec les dames.
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Il me semble que je l’avais déjà fait celui avec les dames, ou alors c’était les duos !
Bonne journée, John Duff.
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Tiens, c’est bizarre, mon commentaire a fonctionné du premier coup.
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Oui, WordPress a des comportements bizarres !
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Bonsoir Jean-Louis, Puccini me donne toujours de grandes émotions et ici c’est le summum de la beauté… Merci du partage ! Bonne soirée
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Je t’en prie, Marie-Anne ! 😃
Et comme je le disais en début d’article, entendu sur scène, c’est encore mieux !
Bonne soirée.
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J’imagine, oui ! Ca doit être grandiose. Même, un peu intimidant.
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