Après les sérénades chantées à l’opéra, voici une deuxième série de sérénades, écrites cette fois pour des instruments (et des voix). (Rappel : la sérénade est un concert que l’on donne en début de soirée (ou la nuit), à une personne à qui on veut plaire, souvent dans un contexte amoureux.)
Mozart a écrit plusieurs sérénades. Parmi celles-ci, la sixième est appelée Sérénade nocturne (Serenata notturna).
SCHUBERT a écrit Standchen (Sérénade), un lied repris dans le recueil posthume le Chant du Cygne.
Quant à TCHAÏKOVSKI, il nous a proposé cette Sérénade pour cordes op. 48.
Parmi les premières œuvres orchestrales de BRAHMS figurent deux sérénades. La seconde est dédiée à Clara SCHUMANN :
En 1890, Ethel Smyth écrit la Sérénade en Ré majeur.
Dans les Préludes de DEBUSSY, le neuvième est intitulé « la Sérénade interrompue« .
BRITTEN, lui, a écrit cette Sérénade pour ténor, cor et cordes op. 31
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Il fallait avoir nombreuses camaraderies pour emballer la jouvencelle !
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Comme tu dis !
Bonne journée, Nemo.
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