Après vous avoir présenté les principaux musiciens (classiques) espagnols, voyons maintenant leur production dans le domaine de l’opéra.
On l’a vu, le précurseur de la forme Opéra en Espagne est la Zarzuela baroque. En voici une de José de NEBRA, Iphigenia en Tracia (1747).
Felipe PEDRELL (1841 – 1922) fera revivre la zarzuela. Il a également écrit des opéras dont Quasimodo (1875), d’après Notre-Dame de Paris de VH et Los Pirineos (Els Pirineus) (1902).
Enrique GRANADOS (1867 – 1916) a écrit principalement pour le piano. Il a également composé des opéras autour des années 1900. Le plus connu d’entre eux est Goyescas (1916), écrit d’après une œuvre éponyme écrite pour le piano.
Isaac ALBENIZ (1860 – 1909) écrira pour la guitare, par exemple son célébrissime Asturias. Il composera également des opéras, dont un Merlin (1909).
Il sera suivi par Manuel DE FALLA (1876 – 1946) qui écrira, outre des zarzuelas, le drame lyrique La Vie brève (La Vida breve) (1904 – 1905) et Les Tréteaux de Maître Pierre (1922).
Au XXe siècle, la zarzuela est toujours vivante en Espagne, dans une forme proche de notre opérette moderne. Écoutons en une de Federico ROMERO.
Et retrouvez sur ce blog l’Espagne mise en musique par des compositeurs étrangers, de GLINKA à DEBUSSY en passant par CHABRIER et LISZT.
Bonjour toi ! Je repasse très vite. Faut que j’aille d’abord sur l’ordi pour visionner et ecouter les vidéos.
MERCI encore une fois pour ce partage sur les opéras espagnols. Je découvre une fois de plus. 🙏
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Merci à toi SOlène.
Tu as vu que c’est le deuxième volet d’une série qui en comportera 3, euh non, 4 !
Finalement je vais encore faire l’espagne vue par les compositeurs non espagnols (RAVEL, RIMSKI-KORSAKOV, LALO, …) et l’Espagne mis en opéra par des compositeurs non espagnols (Carmen, la Barbier de Séville, le Nain, …).
Bref, je ne suis pas au chômage…
Je te souhaite une excellente journée, ma chère SOlène. 🎼🌹
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Oui, du pain sur la planche. Pour notre plus grand plaisir.
Il a plu toute la journée, plu froid, venteux et triste à pleurer et long comme un jour sans pain. Du coup j’ai dormi cet après-midi, une sieste of course. Dont je me reveille sans avoir visionné tes vidéos.
J’enregiste le billet pour mes pauses futures.
Bonne soirée à toi, cher Jean-Louis 😘
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Quel dommage de gâcher ainsi un dimanche. On peut se consoler en pensant qu’au moins tu auras pu te reposer.
Tu sais quoi à propos de « Une bête au Paradis » de Cécile COULON, c’est une histoire qui raconte un bel amour, puis une trahison, avec de la jalousie et une vengeance terrible à la fin. De quoi faire un bon livret d’opéra, non ?
Très bonne soirée à toi zaussi, SOlène. 😘
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Euh… oui, en fait je me demandais pourquoi tu me parlais de « une bête au paradis » 🤔
Comme ça, sur le coup, j’ai écarquillé les noeils.
Mais oui, why not ? 😊
Fais donc, cher Jean-Louis. Je partagerai ta note avec son autrice. Et – tiens, sur mon blog aussi.
Et sinon, je ne sais pas si j’ai perdu une « belle » journée – belle, on repassera, hein. Mais je sais que je n’ai pas travaillé sur mon manuscrit autant que prévu. Cela dit pour dormir autant, il faut en avoir besoin.
Plutot que regarder des niaiseries à la tv, je vais m’y mettre pendant 3 bonnes heures. Ça m’apprendra !
😘
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C’est important de se reposer quand on a besoin, SOlène, et cela te rendra d’autant meilleure pour ton travail que j’attends (que nous attendons).
Bon courache !
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Beaucoup aimé les castagnettes de M. de Falla. Typiquement espagnol !
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Espagnolissime !
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Quelle plaisir de retrouver de la beauté après une journée sous l’eau à résoudre des problèmes techniques.
Merci Jean Louis, bonne soirée.
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Merci Luciole. J’espère que tu as pu régler tes problèmes subaquatiques.
Excellente journée à toi. 🎼
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Oui, merci, j’ai émergé pour écouter toute une série de vidéos. 🙂
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